La sécu est un système fasciste!
Depuis quelques années, l'état français essaie, de façon de plus en plus désespérée, de sauver la sécurité sociale. Les déficits s'accumulent, la sécu rembourse de moins en moins bien, les assureurs privés se préparent à prendre la relève, le gouvernement hésite à annoncer l'inévitable augmentation des cotisations, bref, l'incurie habituelle de l'état est à nouveau à l'oeuvre.
Je vais vous démontrer ici pourquoi la sécu ne doit pas être sauvée et doit même disparaître pour laisser la place au marché. Mon analyse est imparable: la sécurité sociale (initiales S.S.) est un système fasciste: autoritaire, corporatiste, ridicule et inefficace.
Autoritaire parce que, dès lors que vous avez des revenus, vous êtes contraint et forcé, par la force des baïonnettes, de cotiser à la sécu. Si vous n'en êtes pas conscient, essayez donc de ne plus payer vos cotisations URSSAF ou bien vos cotisations sociales. Vous m'en direz des nouvelles. La sécu se présente comme un système de solidarité, un sentiment noble , mais cette solidarité est la même que celle du voyageur envers le bandit de grand chemin qui lui met un couteau sous la gorge. Comment la solidarité pourrait-elle être obligatoire? C'est impossible. Seuls les systèmes totalitaires et fascistes prétendent dicter par la force les sentiments et les comportements de leurs citoyens.
Corporatiste car la sécu protège les intérêts des laboratoires médicaux, des médecins, des pharmaciens, des hôpitaux et cliniques privées, en leur garantissant des revenus énormes. Imaginez un peu que vous puissiez aller manger au restaurant et payer avec votre carte nourrital, sans plus jamais sortir d'argent. N'auriez-vous pas tendance a déserter votre propre cuisine pour aller au restaurant tous les jours? Les restaurateurs n'en profiteraient-ils pas en surfacturant, en trichant, en vous faisant manger les plats les plus coûteux? Ce serait bien naturel, n'est-ce pas? Comment imaginer que les médecins, hôpitaux et laboratoires médicaux n'abusent pas d'un système où les contrôles sont rares? Seuls les systèmes totalitaires et fascistes détournent, à main armée, l'argent de tous au profit d'une minorité d'entreprises et d'individus.
Ridicule car la sécu est bâtie sur un postulat absurde, l'inénarrable "égalité d'accès aux soins". Comment peut-on sérieusement prétendre que le cancéreux en phase terminale, l'accidenté de la route, la victime d'une maladie inconnue et l'homme en bonne santé doivent absolument avoir le même accès aux soins? Cela fait irrésistiblement penser à la phrase de Knock: "il n'y a pas d'homme en bonne santé, il n'y a que des malades qui s'ignorent". Comment peut-on annoncer, en gardant son sérieux, que le père de 8 enfants dont la vie est en danger doit avoir le même accès aux soins qu'un célibataire, arrivé aux urgences 5mn avant, et qui se fait soigner un petit bobo? Cette prétendue égalité est une farce, digne des meilleurs blagues sur l'ère communiste dans les pays de l'est. Non seulement cette égalité est inapplicable dans le monde réel (d'ailleurs aucun service d'urgence ne la respecte, tous établissent des priorités en fonction de la gravité des pathologies) mais il est évident que tout le monde ne mérite pas les mêmes soins. Entre le fumeur invétéré qui développe à 65 ans un cancer du poumon mortel et l'enfant de 12 ans leucémique que l'on peut sauver, il faut donner la priorité au second et non pas les traiter sur un pied d'égalité. Seuls les systèmes totalitaires et fascistes n'établissent aucune distinction entre leurs citoyens et leur imposent un système absurde, tout en les gavant de propagande.
Inefficace car la sécu favorise les comportements à risque: surmédicalisation, surconsommation de médicaments (certaines préparations sont consommées 20 fois plus en France par rapport aux pays voisins), surconsommation de soins (il y a deux fois plus d'opérations de l'appendicite en France qu'en Allemagne) et décourage les comportements responsables de prévention. Pourquoi? Parce que la prévention aurait pour effet de diminuer les revenus des médecins, des laboratoires et des pharmaciens, pardi! N'oublions pas non plus que les hôpitaux publics, l'une des principales sources de gaspillage, n'ont aucune motivation à l'efficacité puisque l'argent coule à flots. Seuls les systèmes totalitaires et fascistes maintiennent sans jamais les réformer ni les faire disparaître des organisations inefficaces à un tel point.
Les thuriféraires de la sécu la considèrent comme un sommet de la solidarité du peuple français, qui protège le bon peuple des méfaits de l'ultra-libéralisme. "Aux Etats-Unis, 60 millions d'américains n'ont aucune protection sociale", entend-on. En réalité, le système de santé américain a été lourdement étatisé et socialisé depuis 1967, lorsque les programmes Medicare et Medicaid furent créés. Les assurances privées proposées par les entreprises à leurs salariés (en échange d'exonérations fiscales de la part de l'état) s'entendent avec les médecins et les hôpitaux quant aux tarifs et barêmes appliqués. Bref, au lieu d'être un monopole public, le système de protection sociale américain est un oligopole privé, avec peu, voire pas du tout de concurrence. Les citoyens américains ne font qu'échapper à un système profondément inefficace.
Autre argument avancé: "les Francais sont attachés à la sécu". Cet attachement est en grande partie fondé sur une hallucination, résultant de la propagande étatique, l'illusion que ce sont les autres qui payent. Or, il faut bien que quelqu'un paye quelque part et il suffit de regarder sa feuille de paie pour deviner qui finance ce gâchis. En outre, n'oublions pas que le peuple français était aussi très attaché à Napoléon ou au Maréchal Pétain, cela n'en fait pas pour autant des personnages recommendables.
Enfin, cerise sur le gâteau, l'argument vertueux: "la sécu, c'est la solidarité". Manière de dire que celui qui est opposé à la sécu est un égoiste ultra-libéral. C'est tout simplement faux. La vraie solidarité n'a pas besoin d'organisation étatique, de planification, de centralisation, pour exister. L'histoire récente de l'Asie du Sud-Est a montré que les Francais sont solidaires sans que l'état intervienne ou les force.
La propagande étatique en faveur de la sécu doit donc être dénoncée avec force: ne la laissons pas dissimuler derrière la solidarité, un sentiment noble qui honore l'être humain, une réalité bien moins avouable.
Je vais vous démontrer ici pourquoi la sécu ne doit pas être sauvée et doit même disparaître pour laisser la place au marché. Mon analyse est imparable: la sécurité sociale (initiales S.S.) est un système fasciste: autoritaire, corporatiste, ridicule et inefficace.
Autoritaire parce que, dès lors que vous avez des revenus, vous êtes contraint et forcé, par la force des baïonnettes, de cotiser à la sécu. Si vous n'en êtes pas conscient, essayez donc de ne plus payer vos cotisations URSSAF ou bien vos cotisations sociales. Vous m'en direz des nouvelles. La sécu se présente comme un système de solidarité, un sentiment noble , mais cette solidarité est la même que celle du voyageur envers le bandit de grand chemin qui lui met un couteau sous la gorge. Comment la solidarité pourrait-elle être obligatoire? C'est impossible. Seuls les systèmes totalitaires et fascistes prétendent dicter par la force les sentiments et les comportements de leurs citoyens.
Corporatiste car la sécu protège les intérêts des laboratoires médicaux, des médecins, des pharmaciens, des hôpitaux et cliniques privées, en leur garantissant des revenus énormes. Imaginez un peu que vous puissiez aller manger au restaurant et payer avec votre carte nourrital, sans plus jamais sortir d'argent. N'auriez-vous pas tendance a déserter votre propre cuisine pour aller au restaurant tous les jours? Les restaurateurs n'en profiteraient-ils pas en surfacturant, en trichant, en vous faisant manger les plats les plus coûteux? Ce serait bien naturel, n'est-ce pas? Comment imaginer que les médecins, hôpitaux et laboratoires médicaux n'abusent pas d'un système où les contrôles sont rares? Seuls les systèmes totalitaires et fascistes détournent, à main armée, l'argent de tous au profit d'une minorité d'entreprises et d'individus.
Ridicule car la sécu est bâtie sur un postulat absurde, l'inénarrable "égalité d'accès aux soins". Comment peut-on sérieusement prétendre que le cancéreux en phase terminale, l'accidenté de la route, la victime d'une maladie inconnue et l'homme en bonne santé doivent absolument avoir le même accès aux soins? Cela fait irrésistiblement penser à la phrase de Knock: "il n'y a pas d'homme en bonne santé, il n'y a que des malades qui s'ignorent". Comment peut-on annoncer, en gardant son sérieux, que le père de 8 enfants dont la vie est en danger doit avoir le même accès aux soins qu'un célibataire, arrivé aux urgences 5mn avant, et qui se fait soigner un petit bobo? Cette prétendue égalité est une farce, digne des meilleurs blagues sur l'ère communiste dans les pays de l'est. Non seulement cette égalité est inapplicable dans le monde réel (d'ailleurs aucun service d'urgence ne la respecte, tous établissent des priorités en fonction de la gravité des pathologies) mais il est évident que tout le monde ne mérite pas les mêmes soins. Entre le fumeur invétéré qui développe à 65 ans un cancer du poumon mortel et l'enfant de 12 ans leucémique que l'on peut sauver, il faut donner la priorité au second et non pas les traiter sur un pied d'égalité. Seuls les systèmes totalitaires et fascistes n'établissent aucune distinction entre leurs citoyens et leur imposent un système absurde, tout en les gavant de propagande.
Inefficace car la sécu favorise les comportements à risque: surmédicalisation, surconsommation de médicaments (certaines préparations sont consommées 20 fois plus en France par rapport aux pays voisins), surconsommation de soins (il y a deux fois plus d'opérations de l'appendicite en France qu'en Allemagne) et décourage les comportements responsables de prévention. Pourquoi? Parce que la prévention aurait pour effet de diminuer les revenus des médecins, des laboratoires et des pharmaciens, pardi! N'oublions pas non plus que les hôpitaux publics, l'une des principales sources de gaspillage, n'ont aucune motivation à l'efficacité puisque l'argent coule à flots. Seuls les systèmes totalitaires et fascistes maintiennent sans jamais les réformer ni les faire disparaître des organisations inefficaces à un tel point.
Les thuriféraires de la sécu la considèrent comme un sommet de la solidarité du peuple français, qui protège le bon peuple des méfaits de l'ultra-libéralisme. "Aux Etats-Unis, 60 millions d'américains n'ont aucune protection sociale", entend-on. En réalité, le système de santé américain a été lourdement étatisé et socialisé depuis 1967, lorsque les programmes Medicare et Medicaid furent créés. Les assurances privées proposées par les entreprises à leurs salariés (en échange d'exonérations fiscales de la part de l'état) s'entendent avec les médecins et les hôpitaux quant aux tarifs et barêmes appliqués. Bref, au lieu d'être un monopole public, le système de protection sociale américain est un oligopole privé, avec peu, voire pas du tout de concurrence. Les citoyens américains ne font qu'échapper à un système profondément inefficace.
Autre argument avancé: "les Francais sont attachés à la sécu". Cet attachement est en grande partie fondé sur une hallucination, résultant de la propagande étatique, l'illusion que ce sont les autres qui payent. Or, il faut bien que quelqu'un paye quelque part et il suffit de regarder sa feuille de paie pour deviner qui finance ce gâchis. En outre, n'oublions pas que le peuple français était aussi très attaché à Napoléon ou au Maréchal Pétain, cela n'en fait pas pour autant des personnages recommendables.
Enfin, cerise sur le gâteau, l'argument vertueux: "la sécu, c'est la solidarité". Manière de dire que celui qui est opposé à la sécu est un égoiste ultra-libéral. C'est tout simplement faux. La vraie solidarité n'a pas besoin d'organisation étatique, de planification, de centralisation, pour exister. L'histoire récente de l'Asie du Sud-Est a montré que les Francais sont solidaires sans que l'état intervienne ou les force.
La propagande étatique en faveur de la sécu doit donc être dénoncée avec force: ne la laissons pas dissimuler derrière la solidarité, un sentiment noble qui honore l'être humain, une réalité bien moins avouable.
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